Montag, 9. Januar 2012

Mit Iwona im Auto nach Freiburg...

Mit Iwona macht Auto fahren Spaß (ob nun zu viert oder zu zweit) im Citroёn C1! Um 17 Uhr gings los. In Reims hatten wir Hunger und nichts zum Essen dabei. Also Dinner-Pause bei Hippopotamus. =) Dann auf die Autobahn immer weiter Richtung Freiburg.
J'aime bien conduire avec Iwona (que ce soit à quatre ou seulement à deux) dans sa Citroёn C1. Nous partîmes à 17 heures. A Reims, nous eûmes faim et comme nous n'avions pris rien pour manger, nous nous arrêtâmes afin de dîner chez Hippopotamus. =) Ensuite, nous prîmes l'autoroute et continuâmes notre route vers Freiburg.

Compiègne - Reims - Verdun - Metz - Nancy - les Vosges - Colmar - Freiburg

In Nancy ('What's Nancy?') wollte ich das Lenkrad auch mal in die Hand nehmen. Ich 'durfte' dann noch die Vogesen überqueren: Schnee, Berge, Wald, Serpentinen ohne Barrieren am Straßenrand. Iwona öffnete in einem Anflug von Freude über die nächtliche Landschaft ihr Fenster und schrie 'Les Vosges!' ins Dunkel. =) Nichtsdestotrotz wies sich mich etwas hysterisch auf jede Kurve hin: 'Attention VIRAGE!' 
A Nancy, je pris le volant. J'eus la joie de traverser les Vosges: la neige, la montagne, la forêt, les serpentines sans barrieres... Dans la joie de voir ce paysage nocturne, Iwona ouvrit sa fenêtre et cria 'Les Vosges!' dans le noir. =) Néanmoins, elle ne pouvait pas s'empêcher de m'indiquer d'un ton hystérique chaque virage: 'Attention VIRAGE! Freine!'





Nachdem wir Freitagnacht um 1.oo Uhr in Freiburg ankamen, fielen wir ins Bett und freuten uns auf das Frühstück, was uns bei Hosi und Kefir am Samstagmittag erwartete.
Après être arrivés à une heure à Freiburg, nous tombâmes dans nos lits dans la joie de pouvoir prendre un bon petit déjeuner chez Hosi et Kevin.


Am Nachmittag zeigte ich Iwona die Innenstadt. Wir spazierten durch die Straßen Freiburg und machten alle Spielzeugläden der Stadt unsicher. Zum Mittag gab's natürlich einen leckeren deutschen Döner. Mario stieß zu uns. Abends um acht trafen wir uns wieder bei Hosi, um Pizza zu backen, zu erzählen und den vorraussichtlich letzten Glühwein dieser Saison zu trinken.
L'après-midi, nous nous baladâmes au centre-ville. Nous entrâmes dans chaque magasin de jeux. Nous mangeâmes bien sûr un bon kebap allemand. Mario nous joignit. Le soir, nous nous rencontrâmes encore une fois chez Hosi pour faire des pizzas nous-mêmes, pour discuter et pour boire probablement les derniers vins chauds de la saison. =) 

Sonntagmorgen war Iwona ganz neugierig auf meine Kirche - die Calvary Chapel. Ihr hat es sehr gut gefallen, auch wenn sie sich gerne - in Liebe und Demut - über die 'charismatischen' Protestanten lustig macht. =) Zum Mittagessen waren wir bei Mario eingeladen, der uns ein überaus wohlschmeckendes Drei-Gänge-Menü kredenzte. Bevor Iwona dann um halb vier wieder aufbrach, machten wir den Tank nochmal ganz voll.
Dimanche matin, Iwona était toute curieuse de voir comment se passent les cultes dans mon église - la Calvary Chapel. Mario nous invita chez lui pour le déjeuner. Il nous servit un déliceux repas. Avant qu'Iwona reparte, nous mîmes de l'essence dans sa voiture. Elle arriva à 22 heures.

MERCI IWONA POUR TA GENTILLESSE, LES CONVERSATIONS, LES CHOSES QUE TU N'AIMES PAS ET TON BEAU SOURIRE!

4 Kommentare:

Iwonka hat gesagt…

Mais quel récit détaillé! J'aime surtout MARION qui nous "joignit" et la précision sur la mise de l'essence...;)hihihi! Timmi, du bist sehr lustug!! Kurve:)!!!

Guitchime hat gesagt…

Merci IWONKA.. du bist auch sehr lustig! Et bien sûr c'était MARIO qui nous 'joignit'. C'est parce que j'écris MARION plus souvent que MARIO... =)

Iwonka hat gesagt…

Compliment pour Marion alors:)! J'aime aussi - pour un peu équilibrer côté 'je n'aime pas'..;) - l'ambiance dans ta chapelle de Calvaire! ..Ouff...trop de choses que j'aime!!

Pas si simple hat gesagt…

Haha, nous restâmes à la mode de Victor Hugo pour écrire ce commentaire, bien qu'elle ne fut plus utilisée au début du XXI siècle. Ce temps ou nous achetâmes le DVD d’un spectacle de Félicien Marceau et, tout de suite, nous le mîmes.